275 km séparent Bugatti à Molsheim de Parmigiani Fleurier.
Après une première rencontre en 2001, ce n’est que 3 ans plus tard que le partenariat est véritablement noué avec la sortie de la Bugatti type 370.
Le tout premier mouvement mécanique transversal de l’histoire de la montre-bracelet, est mis au point.
Bugatti recherchait un partenaire dans la haute horlogerie pour rendre hommage à ses voitures. Michel Parmigiani eut alors carte blanche pour ce partenariat en matière de design et même sur l’utilisation de matériaux sophistiqués parfois inconnus dans l’industrie automobile.
Après ce premier modèle, se sont succédées la Bugatti Atalante, la Bugatti SuperSport, la Bugatti Aérolithe et pour les 10 ans du partenariat les Bugatti Mythe, Révélation et Victoire.
2017 est donc l’année de la Bugatti Aérolithe Performance au boîtier entièrement réalisé en titane. Cette pièce hightech a eu recours au laser, là où l’usinage conventionnel aurait échoué. L’univers de la vitesse se manifeste par un luxe de détails, comme le double tachymètre avec indications des km/heure en rouge et des miles/heure en bleu.
L’intérieur de la lunette comprend d’ailleurs un petit rappel aux performances de la Bugatti Chiron
- 100km/h en 2.4 secondes
- 200km/h en 6.5 secondes
- 300km/h en 13.6 secondes
- 400km/h en 33.5 secondes
Pour rappel elle est actuellement bridée à 420km/h mais la légende veut que si un circuit lui permet de s’exprimer elle pourrait atteindre les 500km/h …
Moteur d’exception qui tourne comme une horloge suisse? Il ne fallait qu’un pas facilement franchi pour parler de la Bugatti Aérolithe Performance.
Présentation Bugatti Aérolithe Performance
Inspirée de la voiture éponyme créée par Jean, le fils de Ettore Bugatti, la Bugatti Aérolithe était un ovni pour l’époque. En 1935, sa carrosserie était conçue en deux pièces de magnésium réunies par une ingénieuse épine dorsale rivetée. Avec un nom synonyme de météorite, cette voiture en a également eu la brièveté, en effet, un seul exemplaire fut produit en 1935 et présenté aux salons de Londres et Paris.
Seuls quelques croquis et photos subsistent pour prouver la présence de cette voiture dans la gamme Bugatti, c’est ce côté mystérieux qui a inspiré Michel Parmigiani pour créer sa Bugatti Aérolithe Performance.
Caractéristiques techniques :
Boîtier rond en titane poli. Verre saphir anti-reflet, fond saphir avec numéro de série gravé. Dimensions: 41 mm, épaisseur: 12.77 mm. Etanchéité: 30 m.
Cadran noir en maillechort. Index appliques rhodiés avec matière luminescente.
Finition : extérieur sablage sélectif, centre pointe de diamant.
Aiguilles forme delta avec matière luminescente.
Calibre : mouvement Automatique maison PF335 doté d’un module chronographe flyback avec une réserve de marche de 50h
Dimensions: 13 1/4 »’ – Ø 30.30 mm, épaisseur: 6.81 mm. 311 composants, 68 rubis. Fréquence: 4 Hz – 28’800 A/h. 2 barillets en série. Décoration: « Côtes de Genève », ponts anglés.
Bracelet en cuir de veau noir avec boucle déployante.
Dernière précision, le prix « estimé » lors de son lancement le 10 avril devrait tourner aux alentours de 20.800€ *. Nous sommes encore loin du prix d’une Chiron.
* Prix public TTC conseillé France (dont TVA : 20%) – Ces tarifs, purement indicatifs, n’engagent pas la marque et peuvent être modifiés sans préavis.
Seul les passionnés sont intéressants exigeants…et font avancer la cause automobile…
on a rien trouvé de mieux qu’un bon V12 à pistons ! Lamborghini…Ferrari…ou Aston Martin…
leur puissance est constante même avec le dernier litre d’essence de la réserve…ce qui n’est pas le cas avec une batterie lithium-ion en fin de charge !!!! L’autonomie est inversement proportionnelle à la vitesse jusqu’à 80 Km/h…et inversement proportionnelle au carré de la vitesse pour les grandes vitesses…d’ou une faible autonomie sur les autoroutes !